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VSS 1-2

DE FR Infra-Tagung 2014 in Luzern Urs Hany: «Gut, gibt es die Schweizer Baustellen!» Journée Infra 2014 à Lucerne Urs Hany: «Les chantiers suisses sont une bonne chose!» Der Unterhalt der Infrastrukturen in der Schweiz ist wichtig. Er wird umso bedeuten- der, je stärker die Infrastrukturen benutzt und je älter sie werden. Dies gilt vor allem für das Strassennetz. Doch die Politik tut sich schwer mit dem verlässlichen und nach- haltigen Unterhalt, der oft immer noch als notwendiges Übel betrachtet wird. Deshalb brauche es ein Umdenken und finanzielle Instrumente, welche die Mittel für Ausbau und Betrieb gleichermassen sicherstellen, forderte Infra-Präsident Urs Hany an der Infra-Tagung, der grössten Veranstaltung der Schweizer Infrastrukturbauer. L’entretien des infrastructures est important en Suisse. Cette importance augmente à mesure que les infrastructures font l’objet d’une utilisation de plus en plus intense et qu’elles vieillissent. Cela vaut surtout pour le réseau routier. Pourtant, la politique a du mal à assurer un entretien fiable et durable, sou- vent considéré comme un mal nécessaire. C’est pourquoi il faut repenser la question et disposer d’instruments financiers qui assurent le développement comme l’exploitation, a réclamé le Président d’Infra, Urs Hany, lors de la Journée Infra, le plus gros rassemblement des constructeurs suisses d’infrastructures. «Früher war auch die Zukunft viel besser», zitierte Urs Hany zu Beginn seines Referats den deutschen Schauspieler Karl Valentin, um sogleich den Bogen in die Gegenwart zu spannen: «Gut gibt es die Schweizer Bau- stellen, denn sie werden dafür sorgen, dass die Zukunft besser wird.» So unterhaltend wie Hany die Tagung «Staus und Störungen im Unterhalt» eröffnete, ist das Thema aber keineswegs. Zumindest in der Politik werde der Unterhalt von Infrastrukturen stiefmütter- lich behandelt, monierte der Infra-Präsident. Es ist offensicht- lich politisch kein besonders attraktives Thema, schon gar nicht im Wahlkampf. «Setzen sich Parlamentarier mit Unter- haltsarbeiten auseinander», so Hany, «dann fordern sie in den meisten Fällen bloss, dass diese rasch, störungsfrei und mög- lichst günstig erledigt werden.» Zwar steigt der Mittelbedarf für die Finanzierung des Infrastrukturunterhalts, doch wer sich in der Politik für mehr Einnahmen stark macht, kann nicht auf Applaus hoffen. Im Gegenteil: «Zu den Gewinnern zählen diejenigen, die sich wie im Kanton Bern für tiefere «Autrefois, l’avenir était bien meilleur»: c’est ainsi qu’Urs Hany a débuté son exposé, en ci- tant le comédien allemand Karl Valentin, pour ramener aussitôt le débat dans le présent: «Les chantiers suisses sont une bonne chose, car grâce à eux, l’avenir sera meilleur.» Mais le sujet n’est pas du tout aussi plaisant que la manière dont M. Hany a ouvert le séminaire «Bouchons et pertur- bations dans le cadre de l’entretien». Dans le monde politique du moins, l’entretien des infrastructures est traité comme un parent pauvre, a critiqué le Président d’Infra. À l’évidence, ce n’est pas un sujet très attrayant au plan politique, et encore moins en période électorale. «Lorsque les parlementaires se préoccupent des tra- vaux d’entretien», poursuit M. Hany, «ils se contentent la plupart du temps de demander qu’ils soient juste réalisés rapidement, sans perturbations et aussi bon marché que possible.» Certes, les besoins de fonds augmentent pour financer l’entretien des infras- tructures, mais quiconque en politique soutient la hausse des re- cettes ne peut pas espérer être applaudi. Au contraire: «Parmi les gagnants, on trouve ceux qui se mobilisent pour des impôts plus Von Rolf Leeb Partner media & more GmbH, Kommunikationsberatung. Verantwortlich für die Redaktion von «Strasse und Verkehr» thema | thème6 strasseundverkehrNR.1-2,Januar/Februar2014 routeettraficNo 1-2,Janvier/Février2014

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