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VSS 1-2 2015

DE FR «Im Bereich der Ausbildung und der Zertifizierung besteht noch ein gewisser Nachholbedarf» «Dans le domaine de la formation et de la certification, il reste un certain retard à rattraper» Das ASTRA hat die Aufgabe, Kantone und Gemeinden beim Vollzug von Art. 6a SVG zu unterstützen. Als für die Nationalstrassen zuständige Stelle nimmt es bei der Einfüh- rung eines integrierten Infrastruktur- Sicherheitsmanagements eine Vorreiterrolle ein. ASTRA-Direktor Rudolf Dieterle erklärt im Interview, wie sein Bundesamt diese Doppelrolle wahrnimmt, wo noch Nachhol- bedarf besteht und wie die Schweiz im internationalen Vergleich abschneidet. L’OFROU est chargé de soutenir les cantons et les communes dans la mise en œuvre de l’art. 6a LCR. Toutefois, en tant qu’organisme respon- sable des routes nationales, il assume aussi un rôle précurseur pour l’introduction d’une ges- tion intégrée de la sécurité de l’infrastructure. Le directeur de l’OFROU, Rudolf Dieterle, ex- plique lors d’un entretien comment son office fédéral endosse ce double rôle, où des efforts de rattrapage restent à faire et comment la Suisse s’en sort en comparaison internationale. Die Umfrage bei den Sicherheitsbe- auftragten (SiBe) zum Thema ISSI zeigte klar, dass die Führungsebene grundsätzlich von den ISSI über- zeugt ist und auch deren Anwen- dung fordert. Dennoch werden den verantwortlichen Sicherheitsbeauf- tragten kaum Ressourcen für diese Arbeit zur Verfü- gung gestellt. Wie beurteilen Sie diese Diskrepanz? Rudolf Dieterle: Für Bund und Kantone wurde die Ernennung eines Sicherheitsbeauftragten als Ansprechstelle in Belangen der Verkehrssicherheit mit Inkrafttreten von Artikel 6a SVG Pflicht, konkret per 1. Juli 2013. Die ASTRA-Vollzugshilfe zu den ISSI wurde knapp davor publiziert, die instrumentenspe- zifischen VSS-Normen zeitgleich mit dem Inkrafttreten der SVG-Bestimmung. Den verantwortlichen Stellen blieb daher nur wenig Zeit, die entsprechenden organisatorischen Schritte umzusetzen. Da Sinn und Zweck der Infrastrukturmassnah- men bei den Führungsorganen ja unbestritten sind, gehe ich davon aus, dass auch die Ressourcen im Rahmen der üblichen Budgetprozesse angepasst werden, wo dies nötig erscheint. L’enquête menée auprès des préposés à la sécurité (SiBe) au sujet des ISSI a clairement montré que le niveau de direction est fondamentalement con- vaincu du bien-fondé des ISSI et qu’il promeut leur mise en œuvre. Cepen- dant, peu de ressources sont mises à la disposition des préposés à la sécurité responsables de ce travail. Comment jugez-vous ce décalage? Rudolf Dieterle: avec l’entrée en vigueur de l’art. 6a LCR, le 1er juillet 2013 précisément, la Confédération et les can- tons ont eu l’obligation de designer un préposé à la sécurité chargé de traiter les questions relevant de la sécurité rou- tière. Le guide de mise en oeuvre de l’OFROU relatif aux ISSI a été publié juste avant cette date et les normes VSS spéci- fiques à ces instruments l’ont été simultanément à l’entrée en vigueur de la disposition de la LCR. Les services compé- tents n’avaient donc que peu de temps pour mettre en œuvre les mesures d’organisation ad hoc. Comme la pertinence des mesures d’infrastructure est incontestée au sein des organes dirigeants, je pars du principe que les ressources seront INTERVIEW VON ROLF LEEB Geschäftsführer media&more GmbH, Kommunikationsberatung, Zürich, Verantwortlich für die Redaktion von «Strasse und Verkehr» THEMA | THÈME | 33

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