Please activate JavaScript!
Please install Adobe Flash Player, click here for download

VSS 3 2015

mittels ausführlichen Literaturstudiums umfassend evaluiert worden sei – das heisst in verschiedenen Sprachen. Hier seien vor allem die Forschungsstellen gefordert, zeige doch die Pra- xis, so Doerfel, dass in diesem Bereich noch einiger Nachhol- bedarf bestehe. «Die FoKo darf erwarten können, dass die For- schungsstellen mit guten Kenntnissen zu uns kommen.» Sie sei sich durchaus bewusst, dass der lange Weg in der Forschung immer wieder kritisiert werde. «Allerdings», gibt Doerfel zu bedenken, «ist es auch eine Tatsache, dass kaum ein Forschungsprojekt termingerecht fertiggestellt wird.» Gefordert sind also die Begleitkommissionen (BK), die in Zu- kunft die Einhaltung der Terminvorgaben kontrollieren müs- sen. «Wichtig ist aber auch, dass die Qualität der Forschung von Anfang an kontinuierlich überprüft wird und nicht nur der fertige Bericht», fordert Doerfel. Grundsätzlich müsse ein Review erfolgen, bevor die BK grünes Licht für einen Schluss- bericht gebe. Zu präzisieren sind auch die Führungsprozesse, also klare Festlegungen, wer wo verantwortlich ist. Dadurch lässt sich insbesondere in einem Milizsystem Zeit gewinnen. Klares Votum für die ISO-Zertifizierung In den Workshops wurde viel über Prozesse diskutiert. Diese sind zwar im VSS grösstenteils beschrieben. Trotzdem waren sich alle einig, dass noch Handlungsbedarf besteht, um dem angestrebten Qualitätsanspruch gerecht zu werden. Abhilfe schaffen soll in diesem Zusammenhang die geplante ISO-Zer- tifizierung des Verbandes. Die Teilnehmenden der Workshops erachten es als positiv und als Vereinfachung des Milizsys- 4 | Marion Doerfel (oben) stellte den Forschungsprozess in anschaulichen Bildern dar (links): Vom leeren Glas über die wichtigen Formulare (Gesuch, Bedürfnisnachweis) folgt der lange, steinige Weg (Turnschuh) bis hin zum Forschungsbericht und einer Norm, womit das Glas dann voll ist. 4 | Marion Doerfel (en haut) a présenté le processus de recherche avec des images concrètes (à gauche): du verre vide, en passant par les formulaires importants (requête, preuve de besoin), s’ensuit le long chemin caillouteux (chaussure de sport) jusqu’au rapport de recherche et à une norme, c’est- à-dire au verre plein. cours sans examen ni certification. En revanche, la barre doit être placée un peu plus haut pour les certifications. Concer- nant les cours de remise à niveau, qui aujourd’hui sont requis tous les quatre ans, il a été proposé de ne les imposer que si la personne concernée ne peut pas attester d’une expérience pratique dans le domaine spécifique lors des quatre dernières années. Le chemin long et caillouteux de la recherche Sans présentation Powerpoint, mais de manière très impres- sionnante à l’aide de verres d’eau et d’une chaussure de sport (voir photo), Marion Doerfel, professeur spécialiste des trans- ports à la Haute école spécialisée de Berne, a illustré le chemin long et caillouteux de la recherche. Membre de la commission fédérale de recherche en matière de route (CORE), elle a un bon aperçu de la qualité de la recherche. On constate déjà de grandes différences au niveau des requêtes de recherche, a expliqué Mme Doerfel. Certaines requêtes sont certes excel- lentes, mais pour d’autres, on a l’impression que l’auteur sait déjà précisément ce qui va en résulter à la fin. «Et puis il y a régulièrement des requêtes de recherche où l’on ne sait pas que ce les gens veulent faire.» Une augmentation de la qualité ne peut être atteinte que si un véritable besoin émanant de la pratique, et donc un besoin de recherche, est attesté. Les CT doivent formuler ce besoin et déterminer s’il est prioritaire. «La preuve de besoin est donc un instrument indispensable pour accroître la qualité dans le domaine de la recherche», selon Mme Doerfel. S’y ajoute THEMA | THÈME | 13

Seitenübersicht