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VSS 3 2015

tems, ein Qualitätssicherungs(QS)-System mit Zertifizierung einzuführen. Jean-Marc Jeanneret hat bereits eine klare Vor- stellung: «Das QS-System des VSS muss so schlank wie mög- lich aufgebaut werden und darf keinesfalls ein Papiertiger sein.» Die Workshop-Teilnehmenden empfehlen zudem, die Zertifizierung nach der neuen Norm ISO 9001/2015 durch- zuführen. Diese integriert nicht nur die Kunden ins Quali- tätsmanagement, sondern alle relevanten Interessengruppen. Zudem werden auch Chancen und Risiken analysiert und Kontextthemen miteinbezogen, um vor allem den Nutzen für den Kunden und interessierte Parteien zu optimieren. Klar ist, dass die Kernprozesse Forschung sowie Normierung in das QS-System integriert werden müssen. Neue Produkte: Technik und Geschwindigkeit Ein Workshop befasste sich auch mit dem Thema neue Pro- dukte. Neben technischen Hilfsmitteln wie Videokonferen- zen oder einer Expertenplattform, die übrigens noch vor dem Sommer aufgeschaltet werden soll, stand vor allem das Thema Geschwindigkeit im Zentrum. «Rasch auf die richtige Norm zugreifen zu können, auch auf einer Baustelle, und schnell zu den richtigen Informationen zu kommen, wird immer wich- tiger», erklärte Manfred Partl, Mitglied des VSS-Vorstands. 5 | Hansruedi Müller: «Wir müssen das Spektrum der VSS-Aus- und Weiterbildung ausdehnen.» 5 | Hansruedi Müller: «Nous devons élargir le cadre de la formation et de la formation continue de la VSS.» que l’état des connaissances est précisément connu et a été évalué de manière approfondie par une étude complète de la littérature – c’est-à-dire dans plusieurs langues. En l’occur- rence, d’après Mme Doerfel, ce sont surtout les organismes de recherche qui sont appelés à montrer à la pratique qu’il existe un certain besoin de rattrapage dans ce domaine. «La CORE est en droit d’attendre que les organismes de recherche viennent à nous avec de bonnes connaissances.» Elle est tout à fait consciente que le long chemin de la recherche est sans cesse critiqué. «Toutefois», a souligné Mme Doerfel, «c’est aussi une réalité qu’il n’y a guère de projets de recherche qui sont finalisés dans les délais prévus.» Les commissions d’accompagnement (CA), qui doivent à l’ave- nir contrôler le respect des délais fixés, sont donc sollicitées. «Mais il est également important que la qualité de la recherche soit contrôlée dès le début en continu, et pas seulement le rap- port final», a exigé Mme Doerfel. Un examen doit par principe être effectué avant que la CA donne son feu vert pour un rapport final. Il convient aussi de préciser les processus de pilotage, c’est-à-dire de définir clairement les responsabilités. Cela per- met de gagner du temps, notamment dans un système de milice. Une position claire en faveur de la certification ISO Lors des ateliers de travail, il a été beaucoup question des processus. La plupart sont certes décrits à la VSS. Malgré tout, tous les participants ont reconnu que des mesures sup- plémentaires étaient nécessaires pour satisfaire l’exigence de qualité visée. En l’occurrence, la certification ISO de l’association doit y remédier. Les participants aux ateliers de travail saluent l’introduction d’un système d’assurance- qualité (AQ) certifié, et considèrent que c’est une simplifi- cation du système de milice. Jean-Marc Jeanneret a déjà une vision claire: «Le système d’AQ de la VSS doit être construit de manière aussi simple que possible et ne doit être en aucun cas un tigre de papier.» Les participants recommandent en outre de mettre en œuvre la certification selon la nouvelle norme ISO 9001/2015, qui intègre non seulement les clients à la gestion de la qualité, mais aussi tous les groupes d’inté- rêts concernés. Par ailleurs, les opportunités et les risques sont également analysés, les thématiques contextuelles sont intégrées, afin surtout d’optimiser l’utilité pour les clients et les parties intéressées. Il est clair que les processus centraux que sont la recherche et la normalisation doivent être inté- grés au système d’AQ. Nouveaux produits: Technique et rapidité Un atelier de travail s’est aussi occupé de la thématique des nouveaux produits. Parallèlement aux aides techniques comme les vidéoconférences ou une plateforme d’experts, laquelle doit d’ailleurs être mise en ligne avant l’été, c’est sur- tout le sujet de la rapidité qui a été au centre des discussions. «Il est de plus en plus important de pouvoir accéder rapide- ment à la bonne norme, même sur un chantier, et d’obtenir vite les bonnes informations», a expliqué Manfred Partl, membre du comité de la VSS. THEMA | THÈME14 STRASSEUNDVERKEHRNR.3,MÄRZ2015 ROUTEETTRAFICNo 3,MARS2015

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