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VSS 3 2015

hung sicher viel gemacht, doch wir kön- nen uns noch deutlich verbessern. Wie? Wir müssen noch viel mehr kommuni- zieren als im Reorganisationsprozess und die involvierten Personen direkt ansprechen. Doch eine verbesserte Top-down-Kommunikation reicht allein noch nicht. Alle involvierten Fachleute müssen auf allen Stufen der Hierarchie Verantwortung übernehmen. Viel zu reden gab in den Workshops die Forschung. Offenbar gibt es hier noch einigen Handlungsbedarf. Das ist in der Tat so. Vor allem sollten wir viel konsequenter überprüfen, ob eine Projektidee auch wirklich einem echten Bedürfnis von Kunden oder Gesellschaft entspricht. Zudem muss die Zusammenarbeit zwischen Begleit- kommissionen und internen Reviewern aufgebaut werden. Hier gilt es einen Prozess zu definieren, der genau beschreibt, wer wann was und wo kontrolliert. Dazu gehört bestimmt auch das Einhalten von Terminen bei den Forschungsaufträgen. Wie wollen Sie dieses Problem in den Griff bekommen? DazubrauchtesganzklareinegrundlegendeEinstellungsände- rung bei den Forschungsstellen. Ein Forschungsauftrag muss den gleichen Stellenwert haben wie ein normaler Planungsauf- trag. Es kann nicht sein, dass nur am Forschungsauftrag gear- beitet wird, wenn es das tägliche Arbeitsvolumen in den Büros gerade zulässt. Deswegen sind momentan zu viele Geldmittel im Forschungsfond gebunden. Es muss uns gelingen, deutlich mehr Druck auf die Forschungsstellen auszuüben. Mit welchen Mitteln? Sicher sind unsere Sanktionierungsmöglichkeiten be- schränkt. Doch ein eingeschriebener Brief kann manchmal auch schon einiges bewirken... Konkrete Vorschläge gab es bezüglich Weiterbildung. Was strebt der VSS genau an? Wir haben einerseits gesehen, dass die Aus- und Weiterbil- dung den neuen Bedürfnissen aus der Praxis angepasst und dementsprechend ausgebaut werden müssen. Konkret will der VSS in Zukunft auch Kurse für das Ingenieurwesen, Kon- strukteure und Bauleiter anbieten. Anderseits hat die Praxis gezeigt, dass nicht alle Kursteilnehmer grossen Wert auf eine Zertifizierung legen. Ihnen geht es vor allem um den Erfahrungsaustausch und um die Möglichkeit, Neues zu ler- nen. Eine Urkunde ist für sie zweitrangig. Das werden wir im zukünftigen Kursangebot stärker berücksichtigen und gleichzeitig das Level für die zertifizierten Kurse etwas höher ansetzen. Interview: Rolf Leeb certainement beaucoup accompli, mais nous pouvons encore nous améliorer. Comment? Nous devons communiquer beaucoup plus que pendant le processus de réor- ganisation et nous adresser directement aux personnes concernées. Cependant, une communication descendante amé- liorée ne suffit pas encore à elle toute seule. Tous les spécialistes impliqués doivent assumer une responsabilité, à tous les niveaux de la hiérarchie. La recherche a suscité beaucoup de discussions dans les ateliers de tra- vail. À l’évidence, des mesures sup- plémentaires sont encore nécessaires. C’est effectivement le cas. Nous devrions surtout contrôler plus systématiquement si une idée de projet correspond vraiment à un véritable besoin de nos clients ou de la société. En outre, la collaboration entre les commissions d’accompagnement et les réviseurs internes doit être constituée. Il convient de définir un processus qui décrit avec précision qui contrôle quoi, où et quand. Cela suppose certainement aussi le respect des délais pour les mandats de recherche. Comment voulez-vous venir à bout de ce problème? Il est très clair qu’il faut pour cela un changement d’attitude fondamental de la part des organismes de recherche. Un man- dat de recherche doit avoir la même importance qu’un mandat de planification normal. Il n’est pas acceptable qu’on travaille uniquement à un mandat de recherche lorsque le volume de travail quotidien dans les bureaux le permet. C’est pour cela qu’à l’heure actuelle, trop de moyens financiers sont affectés au fonds de recherche. Nous devons parvenir à exercer beaucoup plus de pression sur les organismes de recherche. Avec quels moyens? Nos possibilités de sanction sont limitées, c’est certain. Mais un courrier recommandé peut parfois faire avancer quelque peu la situation... Des propositions concrètes ont été formulées concernant la formation continue. Quel est l’objectif précis de la VSS? Nous avons vu d’une part que la formation et la formation conti- nue doivent être adaptées aux nouveaux besoins de la pratique, et qu’elles doivent être élargies en conséquence. Concrètement, la VSS veut aussi proposer à l’avenir des cours pour l’ingénierie, les concepteurs et les chefs de chantier. D’autre part, la pratique a montré que tous les participants n’attachent pas une grande importance à la certification. C’est surtout l’échange d’expérience qui leur importe, ainsi que la possibilité d’apprendre de nouvelles choses. Pour eux, un certificat est secondaire. Nous en tiendrons davantage compte dans notre offre de cours et parallèlement, nous mettrons la barre un peu plus haut pour les cours certifiés. INTERVIEW MIT JEAN-MARC JEANNERET KoKo-Präsident und Projektleiter Reorganisation THEMA | THÈME | 17

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