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VSS 3 2016

Für die Finanzierung braucht es den NAV Bereits dieses Jahr soll die dritte Generation der Agglomera- tionsprogramme beim Bund eingereicht werden. Unklar ist jedoch, ob auf nationaler Ebene für die neuen Programme überhaupt Mittel zur Verfügung stehen. 95% der bisherigen Gelder sind bereits auf Projekte verteilt. «Die Ausarbeitung der Programme erfolgt somit heute in einer Zeit, in der die Mitfinanzierung durch den Bund nicht gesichert ist, und da- mit auf eigenes Risiko der Regionen, Städte und Gemeinden», sagt Urs Hany, Präsident Fachverband Infra und Alt-Natio- nalrat. Für eine dritte und vierte Generation der Aggloprogramme verbleiben etwa noch 200 Millionen Franken aus dem Infra- strukturfonds des Bundes. «Das reicht natürlich bei Weitem nicht», kritisiert der Infra-Präsident. Die Städte und Gemein- den bezahlen heute rund 60% der anfallenden Kosten, vom Bund werden zukünftig rund 300 Millionen jährlich benötigt und erwartet. Entscheiden über die weitere Mitfinanzierung durch den Bund werden letztlich das Volk und das Parlament. Zuversichtlich stimmt dabei, dass in der Vergangenheit Strassenbau- und Verkehrsprojekte an der Urne meistens gutgeheissen wurden. Für die Finanzierung ist eigentlich der zukünftige National- strassen- und Agglomerationsverkehrsfonds (NAV) vorge- sehen. Die Abstimmung über den NAV erfolgt aber erst nächstes Jahr. Zudem ist der NAV laut Hany auch noch von der Abstimmung über die Milchkuhinitiative vom 5. Juni 2016 abhängig: «Wird die Milchkuhinitiative vom Volk an- genommen, wird der NAV obsolet. Wir haben dann zwar 1,5 Milliarden mehr für die Strasse zur Verfügung, aber ausschliesslich für die Strasse und erst noch keine entspre- chende Gesetzgebung.» 6 | Wohin geht die Reise der Mobilität der Zukunft? Jürg Röthlisberger (Direktor ASTRA), Martina Kühne (GDI), Paul Zosso (Moderator), Isabel Scherrer (Fachbereichsleiterin Programm Agglomerationsverkehr, ARE) und Robert Küng (Regierungsrat Kt. Luzern). 6 | Dans le domaine de la mobilité du futur, quelle est la destination du voyage? Jürg Röthlisberger (directeur de l’OFROU), Martina Kühne (GDI), Paul Zosso (animateur), Isabel Scherrer (responsable du domaine Programme Trafic d’agglomération, ARE) et Robert Küng (conseiller d’État de Lucerne). Le FORTA est nécessaire pour le financement La troisième génération des programmes d’agglomération doit être soumise à la Confédération dès cette année. Cependant, une chose demeure incertaine: les fonds nécessaires aux nou- veaux programmes seront-ils disponibles au niveau national? 95% des moyens alloués à ce jour sont déjà ventilés entre dif- férents projets. «L’élaboration des programmes s’effectue donc à un moment où le co-financement de la Confédération n’est pas assuré, et donc aux risques des régions, des villes et des communes», déclare Urs Hany, président de la fédération Infra et ancien conseiller national. Pour une troisième et une quatrième génération des pro- grammes d’agglomération, il reste encore quelque 200 millions de francs issus du fonds d’infrastructure de la Confédération. «Bien entendu, c’est loin d’être suffisant», critique le président d’Infra. Aujourd’hui les villes et les communes payent envi- ron 60% des coûts encourus; on attend à l’avenir quelque 300 millions de francs annuels de la part de la Confédération, une somme nécessaire. Au final, c’est la population et le parlement qui décideront de la poursuite du co-financement de la Confé- dération. Fait encourageant: dans le passé, les projets portant sur la construction routière et le trafic ont généralement été approuvés dans les urnes. En réalité, c’est le futur Fonds pour les routes nationales et le trafic d’agglomération (FORTA) qui est prévu pour financer ces projets. Mais la votation sur le FORTA n’aura lieu que l’an pro- chain. En outre, selon M. Hany, le FORTA dépend aussi de la votation sur l’initiative «vache à lait» (pour un financement équi- table des transports) du 5 juin 2016: «si l’initiative vache à lait est approuvée par la population, le FORTA deviendra obsolète. Nous disposerons certes de 1,5 milliard de plus pour la route, mais exclusivement pour la route, sans législation adéquate.» VSS-KONGRESS | CONGRÈS VSS | 13 059782_SV_3_2016_v2.pdf 13 059782_SV_3_2016_v2.pdf 13 29.03.16 11:00 29.03.16 11:00 059782_SV_3_2016_v2.pdf 1329.03.1611:00 29.03.1611:00

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