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VSS 4

DE FR Recycling von Ausbauasphalt: Im Clinch zwischen ökologischen und ökonomischen Ansprüchen Recyclage d’agrégats d’enrobés: En porte-à-faux entre les exigences écologiques et économiques Auf den Schweizer Strassen werden jährlich über 2 Mio. Tonnen Asphalt erneuert. Idealer- weise würde diese riesige Menge an ausge- bautem Asphalt wieder 1:1 als neuer Belag eingebaut. Doch die Realität ist eine andere: Tonnen dieses wertvollen Rohstoffes liegen vielerorts auf Halde. Weil beträchtliche Mengen dieses Recycling-Materials noch aus teerhaltigen Belägen bestehen, sind sie unterschiedlich stark mit sogenannten poly- zyklischen aromatischen Kohlewasserstoffen (PAK) belastet. Sie gelten teilweise als krebserregend. Eine geplante Verschärfung der PAK-Grenzwerte dürfte den Druck auf Bauherren, Unternehmen und Mischgutpro- duzenten weiter erhöhen. Doch eine Patent- lösung ist noch nicht in Sicht. Klar ist nur: Die Förderung des Asphaltrecyclings liegt in erster Linie beim Bauherrn. Sur les routes suisses, plus de 2 millions de tonnes d’asphalte sont renouvelées chaque année. Dans l’idéal, cette énorme quantité d’agrégats d’enrobés serait réintégrée à 1:1 comme nouveau revêtement. Mais la réalité est autre: des tonnes de cette matière première précieuse sont en rade en de nombreux endroits. Comme des quantités considérables de ce matériau de recyclage se composent encore de revêtement goudronneux, ils sont plus ou moins fortement chargés en hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), considérés en partie comme cancérigènes. L’adoption prévue de valeurs HAP plus contrai- gnantes devrait accroître encore la pression sur les maîtres d‘ouvrage, les entreprises et les pro- ducteurs d’enrobés. Pourtant, il n’y a pas de solu- tion miracle en vue. Une seule chose est claire: l’encouragement du recyclage de l’asphalte concerne d’abord les maîtres d’ouvrage. Die Wiederverwendung von Baumateria- lien ist ein uralter Gedanke: Römische Bauwerke entstanden dort, wo bereits die Kelten gebaut hatten und der mittel- alterliche Städtebau griff auf Überreste römischer Bauten zurück. Erst spät wurde hingegen mit der Wiederverwen- dung von Asphalt begonnen, obwohl Naturasphalt schon vor rund 5000 Jahren von Babyloniern und Sumerern zur Ab- dichtung von Bauwerken verwendet wurde. In der Schweiz begann man Anfang der 1980er-Jahre mit dem Recycling von Ausbauasphalt – zu Beginn mit der Kaltzugabe von Asphaltgranulat in kleinen Mengen von 10 bis 20 % di- rekt in den Mischer. Etwas später wurden bessere Verfahren (Paralelltrommeltechnik) entwickelt, um grössere Mengen La réutilisation des matériaux de construc- tion est une idée vieille comme le monde: des ouvrages romains ont vu le jour sur des sites où les Celtes avaient déjà construit, et l’urbanisme médiéval s’est servi des vestiges des ouvrages romains. En revanche, on n’a commencé que tardi- vement à réutiliser l’asphalte, bien que l’asphalte naturel ait déjà été utilisé il y a environ 5000 ans par les Babyloniens et les Sumériens pour étanchéifier les ouvrages. En Suisse, on s’est mis à recycler les agrégats d’enrobés au début des années 1980 – au départ, en ajoutant à froid des granulés d’asphalte en petites quantités (10 à 20 %) directe- ment dans le mélangeur. Un peu plus tard, de meilleurs procé- dés ont été développés (technique à tambours parallèles) pour Von Rolf Leeb Geschäftsführer media & more GmbH, Kommunikationsberatung, Zürich, Verantwortlich für die Redaktion von «Strasse und Verkehr» thema thème6 strasseundverkehrNR.4,April2014 routeettraficNo 4,avril2014

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