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VSS 6 2015

DE FRDE FR EDITORIAL | AVANT-PROPOS | 5 Gut unterwegs, aber noch nicht am Ziel Eigentlich ist für die Lösung des Problems eine eierlegende Wollmilchsau gefragt. Es soll wenig kosten, kaum Platz brauchen und alle Schadstoffe rausfiltern. Die Rede ist von der optimalen Behandlung von Strassenabwasser – ein Thema, das immer mehr in den Fokus des Strassenbaus rückt. Das verdeutlicht auch das enorme Interesse an den beiden VSS-Fachtagungen 2014 und 2015 zu diesem Thema. Zwar weiss man schon länger, welche Schadstoffe sich im Strassenabwasser befinden. Mit der Inkraftsetzung der ASTRA-Richtlinie 18005 ist seit zwei Jahren aber festge- schrieben, wie man Strassenabwasser effektiv und verhält- nismässig behandeln soll. Details dazu lesen Sie ab Seite 6 in unserem Schwerpunktthema. Erfahrungen aus der Praxis zeigen jedoch, dass bei der Behandlung von Strassenabwasser vielerorts noch Hand- lungsbedarf besteht. Noch nicht abschliessend geklärt ist insbesondere, mit welchem Anlagentyp oder Verfahren das Optimum herausgeholt werden kann – ohne dabei Fruchtfolgeflächen zu beanspruchen. Sollen beispielsweise Sandfilter, die weniger Platz beanspruchen als Bodenfilter, bevorzugt werden? Oder wie steht es mit der Reinigungsleis- tung der verschiedenen Anlagentypen? Und vor allem: Wie können die Betriebskosten möglichst tief gehalten werden, zumal eine Anlage oft 20 Jahre oder länger in Betrieb ist und danach oft auch noch entsorgt werden muss? Aktuelle For- schungsprojekte dürften diesbezüglich bald mehr Klarheit bringen. Die Crux besteht also darin, Reinigungsleistung, Platzbe- darf sowie Investitions- und Betriebskosten als Ganzes zu optimieren. Denn Strassenabwasserbehandlungsanlagen, sogenannte SABA, stellen heute bei Strassenbauprojekten einen Kostenfaktor dar, der nicht mehr zu vernachlässi- gen ist. Kommt hinzu, dass die technische Entwicklung in diesem Bereich in den letzten 5 bis 10 Jahren sehr schnell vorangeschritten ist. So sind heute viele Anlagen noch gar nicht ausführlich getestet worden. Bisherige Erfahrungen haben gezeigt: Bei der Behandlung von Strassenabwasser ist man zwar gut unterwegs, aber noch nicht am Ziel. Ich wünsche Ihnen eine spannende Lektüre. En bonne voie, mais pas encore arrivés au but À vrai dire, il faudrait une solution miracle pour résoudre le problème. Il faut que ce soit bon marché, que cela occupe peu d’espace et que cela filtre tous les polluants. Il est ici question du traitement optimal des eaux de chaussée – un sujet de plus en plus central dans le domaine de la construction routière. L’intérêt considérable qu’il a suscité lors des deux journées techniques de la VSS en 2014 et 2015 le montre aussi. Certes, on sait depuis longtemps quels polluants sont conte- nus dans les eaux de chaussée. Mais la directive de l’OFROU 18005, entrée en vigueur il y a deux ans, prescrit la manière de traiter les eaux de chaussée efficacement et de façon pro- portionnée. Vous découvrirez tous les détails relatifs à cette thématique à partir de la page 6, dans notre grand dossier. Les expériences sur le terrain montrent cependant que des mesures restent nécessaires en de nombreux endroits pour traiter les eaux de chaussée. Il reste notamment encore à clarifier définitivement quel type d’installation ou quel procédé permet de mettre en œuvre une solution optimale, sans solliciter les surfaces d’assolement. Faut-il par exemple privilégier les filtres à sable, qui nécessitent moins d’espace que les couches filtrantes? Ou qu’en est-il des performances d’épuration des différents types d’installation? Et surtout: comment faire en sorte que les coûts d’exploitation soient aussi faibles que possibles, d’autant qu’une installation est souvent en service pendant 20 ans ou plus et doit ensuite généralement être éliminée? Des projets de recherche en cours devraient bientôt apporter plus de clarté en la matière. Le problème, c’est aussi qu’il faut optimiser globalement les performances d’épuration, les besoins d’espace ainsi que les coûts d’investissement et d’exploitation. Dans les projets de construction routière, les système de filtration des eaux de chaussées, les «SETEC», représentent en effet aujourd’hui un facteur de coûts qu’on ne peut plus négliger. S’y ajoute que l’évolution technique a très vite progressé dans ce domaine au cours des 5 à 10 dernières années. Ainsi, beaucoup d’installation n’ont pas encore été complètement testées aujourd’hui. Les expériences faites jusqu’ici ont montré que dans le domaine du traitement des eaux de chaussée, nous sommes certes en bonne voie, mais pas encore arrivés au but. Je vous souhaite une agréable lecture. Rolf Leeb Redaktor/Rédacteur VSS

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