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VSS 7-8 2016

konsequent darauf zu achten, dass die relevanten Fachge- biete in der Begleitkommission kompetent vertreten sind. Die Delegation «stehender» Gremien ist dafür meist nur bedingt geeignet. Forschung in anderen Disziplinen findet heute oft in länderübergreifenden Organisationen statt. Wie klappt die internationale Zusammenarbeit in der Strassen­ forschung mit der Schweiz? In einzelnen Forschungsprojekten finden sich immer wieder Arbeitsgemeinschaften, in denen auch ausländische Partner involviert sind. Auf der Projektebene funktioniert die Zusam- menarbeit gut. Im europäischen Umfeld gibt es Organisati- onen wie CEDR oder D-A-CH, in deren Rahmen länderüber- greifende Forschung diskutiert und auch umgesetzt wird. In beiden Organisationen ist die Schweiz aktiv vertreten. Jähr- lich werden in beiden Gremien Calls für spezielle Forschungs- themen vorbereitet und ausgeschrieben. Auch die Forscher aus der Schweiz können im Rahmen dieser Calls Forschungs- anträge eingeben. Es wäre auch im Interesse der nationalen Forschung wünschenswert, wenn die schweizerischen For- schungsstellen vermehrt von dieser Möglichkeit Gebrauch machen würden. Über welche Forschungsmittel verfügen Strassenverwaltun­ gen im europäischen Umfeld im Vergleich zur Schweiz? In vielen Ländern gibt es verschiedene «Fördertöpfe» und Förderinstitutionen. Verlässliche Angaben über die gesamte Fördersumme sind in diesen Ländern schwer oder gar nicht erhältlich. In anderen Ländern werden die Forschungsmittel für die Strasse und die Schiene in einem Gefäss zusammen- gefasst. Ein direkter Vergleich der verfügbaren Zahlen ist wenig aussagekräftig. Insgesamt lässt sich aber sagen, dass die Schweiz im Verhältnis zu ihrer Grös­ se gut positioniert ist. Welche Wünsche haben Sie an die Fachleute des VSS hinsichtlich zukünftiger Forschungsprojekte? Zunächst möchte ich dem VSS und seinen Fachleuten für die erbrachten Leistungen und das hohe Engagement ganz herz- lich danken. Sie leisten regelmässig wertvolle Beiträge an die Strassenforschung, und ich wünsche mir, dass der VSS auch weiterhin wichtige Forschungsvorhaben zu relevanten The- men durchführt und damit Mehrwerte schafft für die tägliche Arbeit der Bauherren, der Planer, der Ingenieure und der Bau- unternehmungen. Wo sehen Sie Verbesserungspotenzial? Verbesserungspotenzial sehe ich insbesondere in der Zusam- menarbeit zwischen den Begleitkommissionen und den For- schungsstellen. Um auch künftig die notwendigen Mittel zur Verfügung stellen können, sind wir darauf angewiesen, dass die Forschungsvorhaben termin-, budget- und inhaltgerecht durchgeführt werden. Der Begleitkommission kommt dabei eine wichtige Rolle zu. Interview: Rolf Leeb conséquent afin que les domaines spécialisés pertinents soient représentés avec compétence dans la commission d’accompa- gnement. La plupart du temps, la délégation des organes per- manents ne s’y prête qu’avec certaines réserves. La recherche dans d’autres disciplines s’effectue de nos jours souvent au sein d’organisations supranationales. Comment fonctionne la collaboration internationale dans la recherche dans le domaine des routes avec la Suisse? Dans certains projets de recherche, on trouve assez souvent des groupes de travail dans lesquels des partenaires étrangers sont également impliqués. Au niveau des projets, la collabo- ration fonctionne bien. Dans l’environnement européen, il existe des organisations telles que la CEDR ou le D-A-CH dans lesquelles on discute de la recherche supranationale et que l’on met également en œuvre. La Suisse est représentée acti- vement dans ces deux organisations. Chaque année, des calls pour des thèmes de recherche spéciaux préparés et rédigés dans ces deux organes. Les chercheurs suisses peuvent aussi inclure des demandes de recherche dans le cadre de ces calls. Dans l’intérêt de la recherche nationale, il serait souhaitable que les centres de recherche suisses fassent plus souvent usage de cette possibilité. De quels moyens de recherche, les administrations routières disposent dans l’environnement européen en comparaison avec la Suisse? Dans de nombreux pays, il existe différents fonds d’encoura- gement et institutions d’encouragement. Il est difficile voire même impossible d’obtenir des données fiables sur la somme totale allouée dans ces pays. Dans d’autres pays, les moyens affectés à recherche pour la route et le rail sont regroupés dans un fonds commun. Une comparaison directe des chiffres disponibles est donc peu pertinente. Mais dans l’ensemble, on peut dire que par rapport à sa taille, la Suisse se positionne bien. Quels souhaits formulez-vous aux professionnels de la VSS pour les futurs projets de recherche? D’abord, je voudrais remercier très cordialement la VSS et ses professionnels pour les prestations fournies et leur fort engagement. Ils fournissent régulièrement de précieuses contributions sur la recherche dans le domaine des routes et je souhaite que la VSS continue à effectuer d’importants projets de recherche sur des thèmes pertinents pour créer ainsi des plus-values pour le travail quotidien des maîtres d’ouvrage, des planificateurs, des ingénieurs et des entre- prises de construction. Où, à votre avis, existe-t-il un potentiel d’amélioration? Je vois un potentiel d’amélioration en particulier dans la col- laboration entre les commissions d’accompagnement et les centres de recherche. Pour pouvoir conserver à l’avenir les moyens nécessaires, il faut que les projets de recherche soient exécutés dans le respect des délais, du budget et du contenu. Ici, la commission d’accompagnement joue un rôle important. Interview: Rolf Leeb THEMA THÈME 27

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