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VSS 6 2016

Freiraum unter der Fahrspur sollen Leitungen verlegt und Messgeräte installiert werden. Die Fahrbahn könne so gegos- sen werden, dass Wasser nach unten oder zur Seite abfliesst. Nach den Vorstellungen von De Vries lassen sich die ein- zelnen Strassenteile aneinanderreihen und verbinden – wie die Schienen einer Carrerabahn. Die Rutschgefahr auf der Plastikstrasse soll dabei durch das Einarbeiten von Sand oder anderen Materialien in der Oberfläche gebannt werden. Robuster als Asphalt und kaum Unterhaltkosten Der Fahrbahnbelag aus Kunststoff soll robuster sein als Be- ton und Asphalt – laut De Vries hielten die Plastikteile den Verkehrs- und Witterungseinflüssen zwei- bis dreimal so lange stand und verursachten praktisch keine Unterhaltskosten. Das liegt daran, dass unter den leichteren Kunststoff kein aufwen- diges Fundament gelegt werden muss. Zudem hält der Kunst- stoff extreme Temperaturen von minus 40 bis plus 80 Grad Celsius viel besser aus, ohne zu reissen – Schlaglöcher sollen so der Vergangenheit angehören. Bei Abflussrohren oder Palet- ten aus Kunststoff sei die Langlebigkeit des Materials bereits unter Beweis gestellt worden, sagt De Vries. «Und nach 50 Jah- ren kann man dann alles komplett recyceln.» Ausserdem soll der Verkehr auf den Plastikstrassen auch noch leiser werden: Die Oberfläche lässt sich laut De Vries einfacher als Beton und Asphalt bearbeiten, um Abrollgeräusche zu vermindern. Bei Bedarf könnten sogar Sensoren für Verkehrsdatenmes- sungen oder Nano-Generatoren eingebaut werden, die die Vibration der Strasse durch darüberfahrende Autos wieder 4 | Die hohlen Plastik-Strassen sind günstiger als Asphalt, bieten Platz für Rohre und Kabel und halten zudem mehr aus. (© Volker Wessels). 4 | Les routes en plastique creux sont moins chères que l’asphalte, permettent de faire passer tubes et câbles, et sont aussi plus résistantes. (© Volker Wessels). côté. Selon la vision de M. De Vries, les différentes portions de route pourraient être mises bout à bout et raccordées comme les rails d’un circuit Carrera. En l’occurrence, le risque de glissade sur une route en plastique doit être éliminé en intégrant du sable ou d’autres matériaux à la surface. Plus robuste que l’asphalte et quasiment pas de frais d’entretien Le revêtement de chaussée en plastique doit être plus solide que le béton et l’asphalte – selon M. De Vries, les éléments en plastique résistent 2 à 3 fois plus longtemps au trafic et aux intempéries et n’occasionnent pratiquement aucun frais d’entretien. Explication: il n’est pas nécessaire de poser des fondations complexes sous le plastique léger. De plus, le plas- tique supporte beaucoup mieux les températures extrêmes allant de moins 40 à plus 80 degrés Celsius, sans se casser – les nids de poule devraient donc être de l’histoire ancienne. La durabilité de ce matériau a déjà été mise à l’épreuve sur les canalisations d’écoulement ou les palettes en plastique, ajoute M. De Vries. «En outre, on peut recycler le tout 50 ans plus tard.» Par ailleurs, la circulation sur les routes en plastique doit être encore plus silencieuse: selon lui, la surface peut être travaillée beaucoup plus facilement que le béton et l’asphalte afin de minimiser les bruits de roulement. Si nécessaire, on peut même y intégrer des capteurs pour enre- gistrer les données relatives au trafic ou des nano-générateurs qui transforment en électricité les vibrations de la route cau- sées par la circulation des voitures – le «Energy Harvesting» permettant ainsi de quasiment «recycler» l’énergie. THEMA THÈME 11

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