Please activate JavaScript!
Please install Adobe Flash Player, click here for download

VSS 5

2 | Einbau eines Niedertemperatur-Asphaltbelags auf der Rollbahn des Flughafens Zürich (Foto: F. Preisig AG). 2 | Mise en œuvre d’un revêtement en enrobés tièdes sur la piste de l’aéroport de Zurich (photo: F. Preisig AG). Brennstoffverbrauch. Die Reduzierung der Herstellungstem- peratur um 30°C entspricht in etwa 0,9 Liter Heizöl je Tonne Asphaltmischgut. Neben dem geringeren Energieverbrauch besitzt Nieder- temperaturasphalt noch einen zweiten Vorteil: Auf der Asphaltanlage und auf der Strassenbaustelle entstehen mas- siv weniger Emissionen, da der Asphalt bei deutlich geringe- rer Temperatur eingebaut wird. Als Faustregel gilt, dass eine Reduktion der Asphalttemperatur um 10°C die Emissionen auf der Baustelle halbiert (siehe Grafik auf der folgenden Seite). Das lohnt sich für die Asphalthersteller auch finan- ziell: Sie müssen wegen den geringeren Emissionen weniger Lenkungsabgaben bezahlen. Zudem kann der Einbau mit den gewohnten Maschinen durchgeführt werden – und dies erst noch bei tieferen Umgebungstemperaturen, als es mit Heissmischgut möglich ist. Dagegen müssen Niedertempe- ratur-Asphalte länger gewalzt werden, um die gewünschte Verdichtung zu erreichen. Auf der anderen Seite kühlen sie schneller ab, wodurch laut Hersteller die Strassen früher frei- gegeben werden können. Prof. Dumont gibt aber zu beden- ken, dass dies in weiteren Feldversuchen erst noch schlüssig zu beweisen sei. Kosten gleich wie bei herkömmlichen Belag Aus ökonomischer Sicht lässt sich momentan festhalten: We- gen der längeren Einbauzeit kostet Niedertemepratur-Asphalt etwa gleich viel wie ein herkömmlicher Belag, der in der Her- plan de la consommation de combustible. Une réduction de 30°C de la température de fabrication correspond à environ 0,9 litre de mazout par tonne d’enrobé bitumineux. En plus de la diminution de la consommation énergétique, les enrobés tièdes ont un autre avantage: l’installation d’en- robage et le chantier routier produisent beaucoup moins d’émissions polluantes car le mélange bitumineux est mis en œuvre à une température nettement plus faible. Règle empi- rique: une réduction de 10°C de la température des enrobés divise par deux les émissions polluantes d’un chantier (voir graphique à la page suivante). Cela présente également un avantage financier pour les centrales d’enrobage: avec des émissions polluantes réduites, elles doivent payer moins de taxes d’incitation. En outre, la mise en œuvre peut s’effec- tuer avec les machines habituelles – et à des températures ambiantes encore plus basses que le permettent les enrobés à chaud. En revanche, les enrobés tièdes doivent être cylindrés plus longtemps pour obtenir le compactage souhaité. Mais ils se refroidissent plus vite, ce qui, selon les fabricants, permet de rouvrir plus tôt les routes à la circulation. Toutefois, le Prof. Dumont souligne que ce point reste à valider dans le cadre d’autres essais sur le terrain. Des coûts identiques à ceux d’un revêtement traditionnel D’un point de vue économique, on peut retenir pour le moment qu’en raison de sa mise en œuvre plus longue, un mélange fachartikel articles technique 21

Seitenübersicht