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VSS 10

5 | Prüfender Blick: Die Teilnehmenden des Weiterbildungskurses können auf der Baustelle an der Seestrasse in Erlenbach Gehörtes und Gelerntes anwenden und vertiefen (Foto: Rolf Leeb). 5 | Regard critique: sur le chantier de la Seestrasse à Erlenbach, les participants au cours de formation continue peuvent utiliser et approfondir les connais- sances acquises (photo: Rolf Leeb). Zeit braucht. Die zwei Phasen, jene über die Seestrasse und jene über die Ausweichroute, mussten also zeitlich ange- glichen werden. Das war nur möglich, indem man aus der Tempo-30- eine Tempo-50-Zone machte (siehe Abb. 4). Und das mitten in einem Wohn- und Schulhausquartier! Protestwelle aus der Bevölkerung Nicht ganz unerwartet war der Aufschrei in der Bevölkerung der betroffenen Gemeinden riesig. Es gab Rekurse gegen die vorübergehenden Verkehrsanordnungen der Gemeinden Küsnacht und Erlenbach. Zudem wurde eine Petition mit 700 Unterschriften gegen die Aufhebung der Tempo-30-Zone auf der Entlastungsroute eingereicht. Regierungsrat Markus Kägi und Verantwortliche des zuständigen Tiefbauamts wurden mit Spam-E-Mails eingedeckt, und es hagelte Telefonanrufe von empörten Anwohnern. Rolf Vaqué erinnert sich nur un- gern an diese Zeit: «Es war manchmal schon ziemlich müh- sam. Bis heute habe ich nebst unzähligen Telefonanrufen 136 negative und 7 positive E-Mails erhalten.» Dementsprechend intensiv gefordert war auch die Kommuni- kationsabteilung des Tiefbauamts. Im Kanton mit dem gröss- ten Verkehrsaufkommen des Landes gehört dies zum Alltag. équilibrer les temps de passage entre le trajet qui passe par la Seestrasse et l’itinéraire de déviation. Cela n’était possible qu’en transformant la Zone 30 en Zone 50 (voir ill. 4). Et cela en plein quartier résidentiel et scolaire! Une vague de protestation est montée de la population Comme c’était à prévoir, on a assisté à une énorme levée de boucliers dans la population des communes concernées. Les communes de Küsnacht et d’Erlenbach ont formé des recours contre les mesures temporaires de réglementation du trafic. De plus, une pétition contre la suppression de la Zone 30 sur l’itiné- raire de délestage, signée par 700 personnes, a été déposée. Le conseiller d’État Markus Kägi et les responsables de l’Office des ponts et chaussées compétent ont été submergés de courriels in- désirables et d’appels téléphoniques de riverains indignés. Cette époque laisse à Rolf Vaqué un souvenir désagréable: «C’était parfois plutôt pénible. À ce jour, outre d’innombrables appels téléphoniques, j’ai reçu 136 courriels négatifs et 7 positifs.» Le service de communication de l’Office des ponts et chaussées a donc été fortement sollicité, lui aussi. Ce canton ayant le plus fort volume de trafic du pays, cela fait partie du quotidien. Ainsi, THEMA | THÈME | 11

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